Avertissement: Article destiné aux plus de 18 ans.

J’ai toujours eu peur du whisky. Pourquoi? Aucune idée. J’associe cette maudite boisson alcoolisée à la débauche et aux lendemains de veille pas possible. Ok, je vais être honnête. J’ai bu du whisky de qualité médiocre lorsque j’étais adolescent et laissez-moi vous dire que j’ai eu l’œsophage brûlé pendant un mois. Lorsque j’ai reçu une bouteille de Sortilège, je ne savais pas trop quoi en faire. J’ai demandé à ma fidèle amie Sabrina de déguster la bouteille avec moi. C’est une amatrice hors pair de cette boisson démoniaque. J’ai été surpris de constater qu’il n’y avait pas seulement du whisky dans la bouteille. L’alcool est mélangé avec du pur sirop d’érable québécois et il y a même une liqueur de bleuet (Pour les Français, c’est de la myrtille).

Voyant mon amie avaler le nectar, je me suis lancé. D’emblée, je me suis dit que je n’allais probablement pas mourir sur le champ. Quoiqu’avec Sabrina, il faut rester prudent. Sortilège coulait doucement dans ma gorge. J’ai été surpris par les doux arômes sucrés de vanille, de beurre d’érable et avec une finale de fruits des champs. Le whisky est bel et bien présent, mais tout en retenue. C’est comme s’il laissait la chance aux autres saveurs de nous épater. À boire sur des pierres froides. Ne pas diluer.

Cette nouveauté doit se retrouver dans votre réserve. À garder pour fêter ses bons coups ou boire au nom des mauvais coups! Disponible au Canada à la SAQ (ici), et la saveur originale de whisky au sirop d’érable est offerte à la LCBO (ici) et/ou autres marchands autorisés d’alcools et de spiritueux.

Boire et conduire est dangereux. Nous aimons nos lecteurs en vie.