Avant tout, sachez que même dans ma tête, je suis incapable de prononcer ce nom de marque. La distillerie écossaise renaît de ses cendres en 2001. Riche de son héritage victorien, la petite entreprise de Port Charlotte produit une superbe collection de spiritueux, notamment du gin et du single malt whisky. Dans le cadre du présent article, le whisky est à l’honneur suite à une dégustation tout à fait personnalisée
Avertissement: Article destiné aux plus de 18 ans. J’ai toujours eu peur du whisky. Pourquoi? Aucune idée. J’associe cette maudite boisson alcoolisée à la débauche et aux lendemains de veille pas possible. Ok, je vais être honnête. J’ai bu du whisky de qualité médiocre lorsque j’étais adolescent et laissez-moi vous dire que j’ai eu l’œsophage brûlé pendant un mois. Lorsque j’ai reçu une bouteille de Sortilège, je ne savais pas
John Hall est l’homme derrière cette marque canadienne de spiritueux. Avant tout, il est sommelier, mais c’est en 1992 qu’il a décidé de se lancer dans la fabrication du whisky. C’est dans la région du Niagara que le malt est transformé en douce liqueur. Des grains serventà la fabrication du whisky et donne à la boisson un goût riche de miel, de vanille et de noix. Le grain est écrasé
Parce que tout bon gentleman doit savourer langoureusement. Je ne suis pas un fin connaisseur des liqueurs. Je sais que c’est le cas de beaucoup d’hommes. Donc, à chaque fois que je suis invité à une dégustation de fins spiritueux, je fais mon possible pour en apprendre davantage sur cet univers complexe. Je ne m’improvise donc pas spécialiste dans mes articles. Il faut s’habituer au goût du whisky. Ce puissant
