Je suis d’un naturel pantouflard. J’aime me coucher tôt et regarder des documentaires dans le confort de mon foyer. Or, lorsque j’ai débuté ce blogue en 2012, j’étais loin de penser que j’allais couvrir la nightlife montréalaise. En effet, je publiais des articles presque exclusivement à propos de la santé au masculin. À mesure que le temps passait, je recevais des invitations à prendre part à des soirées mondaines. Je suis un grand bonhomme timide et c’était tout un choc pour moi de rencontrer autant de gens en si peu de temps. Imaginez le défi de me souvenir de leur prénom à chaque fois! J’ai eu des nuits courtes et bien arrosées, mais je ne regrette absolument rien de ce passé flamboyant.

J’ai eu la chance d’aborder un tas de personnes tellement intéressantes et enrichissantes pour mon quotidien. Lorsque je sortais, je croisais une belle brunette qui savait capter mon attention. Pétillante et magnifique, elle affiche toujours un grand sourire. Ici, je parle de Jenn Campbell. Elle est un pilier du journaliste mondain dans différents médias anglophones. D’ailleurs, elle a aussi son propre magazine, offert en version papier glacé ou en ligne. Diary of a social gal est un grand livre ouvert sur l’événementiel montréalais. Déjà une décennie que Jennifer livre les secrets des portes closes de grandes institutions de la métropole québécoise.

Récemment, notre collaboratrice Catherine et moi étions invités à célébrer en personne les dix ans de la parution de Jenn. Post-COVID, c’était l’occasion de laisser tomber les masques et de revoir des visages connus. Cocktails et rires étaient au rendez-vous sur la terrasse baignée de soleil.

Procurez-vous le magazine The diary of a social gal (ici)